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Cette loi vise tous les secteurs d’activités, les transports, la gêne due aux bruits de voisinage, etc.

ch3 le bruits (1) (1) CHAPITRE 3 Etude des Performances du CCD et l’EMCCD 1.

0 dB(A) = bruit le plus faible qu'une oreille (humaine) peut percevoir 50 dB(A) = niveau habituel de conversation 80 dB(A) = seuil de nocivité (pour une exposition de 8h/j) 120 dB(A) = bruit provoquant une sensation douloureuse Dans les niveaux très élevés, l’oreille humaine ne ressent pas les bruits de la même manière.

guide maire bruits voisinage Le bruit porte atteinte à la santé de chacun et est un élément perturbateur de la vie publique.

Un cône aussi, de même qu’une face de GSM ou une carte mémoire de console de jeux (bruits à l’étranger).

Le logiciel OSSR permet de reconnaitre de manière fiable les évènements sonores et de discriminer automatiquement la nature des sources de bruit, parfois même dans des conditions difficiles pour l'oreille humaine… Un exemple opérationnel concernant la détection de bruit d’inverseurs de poussée (ou bruits de reverse) à proximité d’un aéroport est évoqué ci-après, mettant en avant l’intérêt majeur de détecter automatiquement les sources acoustiques dans un contexte de gestion environnemental durable.

Ce sont d’abord les transports qui sont source de gêne, puis les bruits de voisinage, les aboiements et les chantiers.

arrete relatif a la lutte contre les bruits de voisinage ARRETE N° 92 / 2015 Relatif à la lutte contre les bruits de voisinage Le Maire de la commune de MUNSTER Vu le Code de la Santé Publique et notamment les articles L.1311-1, L.1322-2, L.1312-1, L.1312-2 et R.

Comparaison des niveaux de pression acoustique avec et sans réducteurs de bruits stationnaires en présence de l'onde vocale globale de Dodelé à un niveau d'intensité de 60 dB SPL Figure 7 :Comparaison des niveaux de pression acoustique avec et sans réducteurs de bruits stationnaires en présence de l'onde vocale globale de Dodelé à un niveau d'intensité de 60 dB SPL Figure 8 :

Son Bruits de pas lourds 

Erika MALU Avenue P. Holoffe 21 ‐ 1342 LIMELETTE   e‐mail: erika.malu@bbri.be      Le (la) soussigné (e):  .........................................................................................................     Société:  .............................................................................................................................     assistera à la journée d’études de l'ABAV le 27 avril 2016.       Accompagné(e) de:  .......................................................................................  personne(s)  Restez au courant de nos ac vités via www.abav.be Introduc on aux principes et no ons de base de l'acous que La nouvelle norme acous‐ que NBN S 01‐400‐2 pour les bâ ments scolaires Jean Némerlin,   Acso     Ce e  introduc on  présentera  les no ons de base essen elles  pour  la  bonne  compréhension  de  la  suite  des  exposés.  Ainsi  seront  successivement  abordés  les  thèmes  suivants  :  nature  des ondes sonores, unités u li‐ sées  et  déciBel,  puissance  acous que  et  niveau  de  bruit,  isola on  acous que,  ambiance  acous que  des  locaux,  diffé‐ rence  entre  isolant  et  absor‐ bant  acous ques.  Enfin,  les  quatre  aspects  fondamentaux  de  l'acous que  du  bâ ment  faisant l'objet de la norme: iso‐ la on  au  bruit  aérien,  isola on  au  bruit  de  chocs,  réverbéra‐ on et bruit d'équipements se‐ ront expliqués.    Maud Gehu,   Centre Scien fique et Technique  de la Construc on  (CSTC)    En  réponse  à  d’importants  changements  de  l’environne‐ ment  acous que  régnant  au  sein des bâ ments scolaires ces  dernières  décennies,  une  nou‐ velle  norme  acous que  NBN  S  01‐400‐2 est apparue en 2012.   Parmi ces changements, on dis‐ ngue  par  exemple  une  forte  augmenta on  du  trafic  rou er  ainsi  que  l’appari on  de  sources  sonores  supplémen‐ taires  liées  à  un  système  de  ven la on  adéquat.  Outre  le  fait de répondre à ce e amplifi‐ ca on néfaste du climat acous‐ que,  l’objec f  principal  de  ce e  nouvelle  norme  vise  à  faire  correspondre,  autant  que  possible,  les  critères  acous‐ ques  des nés  aux  bâ ments  aux  besoins  spécifiques  de  ce  type  de  bâ ments.  Mais  que  signifie  précisément  ce e  norme  et  quelles  sont  les  con‐ séquences  pour  mon  école,  centre  ou  académie?  Au  cours  de  ce e  présenta on,  nous   étudierons  de  plus  près  les  différentes  exigences  acous‐ ques  men onnées  dans  celle‐ ci:  isola on  aux  bruits  aériens  et  aux  bruits  de  choc,  isola on  des  façades,  bruit  des  installa‐ ons techniques et contrôle du  temps de réverbéra on.         De manière générale, la présen‐ ta on  vise  à  expliquer  l’ap‐ proche  globale  de  la  norme,  sans  aller  trop  en  profondeur  dans  les  aspects  technique.  Quelques  cas  de  solu ons  pra‐ ques  couramment  u lisées  seront  également  présentés  en  vue d’illustrer ces aspects tech‐ niques.                  Restez au courant de nos ac vités via www.abav.be La ges on du bruit dans les écoles:

4 lorem ipsum dolor issue, date Le Bruit Double Vitrage Les bruits aériens sont diffusés par l’air.

Temps de pose et bruits U n capteur numérique (CCD ou APN) est assimilable à un puits à lumière accumulant des photons au fur et à mesure du temps passé.

Enfin, le Conseil national du bruit (CNB) vient d’éditer et de mettre en ligne un guide “Bruits des chantiers”, ce dernier nous est commenté.